Dark Hopval Majesty

Dark Hopval Majesty Bull Terrier

Bull Terrier

Avoir un bull terrier à lire.

Avoir un bull terrier à lire.

Texte informations du net, 



le bull terrier.

 


Equilibré, enjoué et proche des humains ; la description du standard de la race ne semble pas correspondre à l’image de machine de guerre que beaucoup de gens se font du bull terrier. Il est temps de mettre fin aux stéréotypes sur cette race.


 


Sommaire


 


Caractéristiques


 


Apparence


 


Histoire


 


Elevage et santé


 


Alimentation du bull terrier


 


Soins et éducation


 


Caractéristiques


 


Les bull terriers ont, encore aujourd’hui, mauvaise réputation. Ils sont considérés comme agressifs, bagarreurs et toujours prêts à mordre. Pas étonnant, avec cela, qu'ils figurent sur la liste des races de chiens dangereux dans de nombreux pays du monde. Leur possession est donc soumise à autorisation, voire interdite.


 


Mais si vous prenez le temps de vraiment vous intéresser à cette race, vous en aurez une tout autre vision : les bull terriers sont extrêmement attachés aux humains et affectueux. Ils maintiennent un contact très étroit avec leur maître et adorent les caresses et les câlins. La norme FCI n° 11 décrit les bull terriers comme « particulièrement gentil avec les gens », bien qu’obstinés. Comme beaucoup d’autres races, les bull terriers ont tendance à vouloir dominer. En raison de leur intelligence et de leur confiance en eux, ils se montrent parfois critiques à l'égard des ordres de leur maître, et aiment s'obstiner contre des tâches qui leur semblent inutiles. Il est donc d'autant plus important de commencer l'éducation d'un chien terrier le plus tôt possible, et de l'habituer aux règles de l'homme dès le plus jeune âge. Avec une éducation cohérente et une socialisation complète, le bull terrier peut être dressé pour devenir un chien de compagnie très discipliné et équilibré. Sa nature enjoué et vivante est particulièrement évidente lorsqu’il est au contact des enfants, mais les plus petits ne devraient pas jouer avec lui sans surveillance. Les enfants doivent d'abord apprendre à composer avec le tempérament ardent et les jeux de bagarre du bull terrier.


 


Le bull terrier est aussi proche de sa famille qu’il est méfiant avec les étrangers. Mais, grâce à sa personnalité équilibrée, il n’attaque pas les gens sans raison. Il est fondamentalement pacifiste et ne considère pas l'agression comme une solution, même s'il n'hésiterait certainement pas à défendre courageusement et bravement sa famille dans des situations de grave danger. Les gens agressifs ne sont pas faits pour posséder un bull terrier. Un chien terrier qui se sentirait agressé développerait un comportement territorial dangereux, surtout s’il a peu d'éducation et de socialisation. Une socialisation précoce et une éducation rigoureuse sont essentielles non seulement pour une coexistence pacifique entre l'homme et le chien, mais aussi entre votre chien et les autres.


 


 


 


Apparence


 


Avec sa tête ovoïde, son nez tordu et ses yeux fendus, le bull terrier ne correspond pas exactement à l'idéal de beauté habituel des chiens. Mais c'est probablement précisément ces particularités que les amoureux apprécient chez leurs chiens terriers. Sa tête de travers fait aujourd’hui tout simplement partie de l'image de la race. Son "nez romain" lui vient de Raymond Oppenheimer et son chenil Ormandy. Ses petites oreilles, fines et rapprochées, sont dressées de façon rigide.


 


Dans l'ensemble, l'apparence du bull terrier a considérablement changé au cours de son histoire. Non seulement la tête, mais aussi la taille et les couleurs de la race ont subi des changements dans le standard. Au début, on trouvait encore des chiens terriers de différentes tailles. Aujourd’hui, les bull terriers d'une hauteur d'épaule de moins de 35,5 cm appartiennent à la race indépendante des « mini bull terriers » (standard FCI numéro 359). La hauteur au garrot du « grand modèle » se situe généralement entre 40 et 55 cm. Une particularité de cette race, cependant, est que dans le standard de la race, aucune restriction de taille ou de poids n'est spécifiée, comme c'est le cas pour les autres races de chiens. La seule exigence à cet égard est que la taille doit être en harmonie avec le poids. Ce chien musclé et bien bâti doit avoir un corps équilibré. La souplesse et la vitesse caractérisent le bull terrier depuis le début de son histoire.


 


Alors que la race anglaise était à l'origine élevée uniquement en blanc pur, le British Kennel Club reconnaît également le bull terrier de couleur depuis 1933. Ceux-ci ont été créés en croisant des Staffordshire bull terriers au début du 20ème siècle. Alors qu'au début, les élevages étaient séparés les uns des autres, depuis 1950 les croisements de chiens blancs avec des chiens reproducteurs colorés sont autorisés. Les bull terriers existent aujourd'hui en noir, bringé, rouge, brun fauve et tricolore. La couleur correspondante doit être prédominante. Mais les taches sur la tête sont acceptées. La couleur bleue n'est pas autorisée.


 


Le poil légèrement brillant du bull terrier est court, lisse et dur au toucher. Certains chiens ont un sous-poil doux et qui leur tient chaud en hiver


 


Histoire


 


La race du bull terrier a été créée par un croisement entre le White English Terrier, disparu vers 1880, un ancien type de bulldog anglais et le dalmatien. La préférence est donnée aux chiens qui combinent parfaitement ces trois races. Néanmoins, on trouve encore aujourd'hui des bull terriers qui ressemblent plus fortement à l'un de leurs trois ancêtres, surtout physiquement. Ces chiens terriers sont divisés en trois catégories : le type dalmatien (plutôt élancé, un peu plus léger et élégant), le type bulldog (plutôt court sur pattes, plus lourd et un peu plus maladroit) et le type terrier.


 


L'élevage ciblé de la race bull terrier a commencé vers 1850 avec le marchand d'animaux James Hinks de Birmingham, en Angleterre. Puisqu'il n'y a pas de livres généalogiques ou d'autres documents datant des premières années, on ne connaît pas l'histoire d'élevage exacte du créateur de la race. On suppose qu'il voyait le bull terrier plus comme un chien de compagnie que comme un chien de combat, une sorte d' « accessoire de mode » pour le riche gentleman de la classe moyenne émergente. Ce qui est certain, c'est que les chiens courageux et rapides étaient aussi utilisés pour appâter les blaireaux et tuer les rats. Par exemple, un bull terrier bringé appelé « Pinscher » aurait tué 500 rats en seulement 36 minutes et 26,5 secondes en 1865. Le bull terrier s'est cependant fait un nom surtout comme chien de combat dans les fameux combats d'animaux des XVIIIème et XIXème siècles. La noblesse et le peuple anglais aimaient le frisson des combats de chiens, et espéraient que les combats leur rapporteraient beaucoup. Les bull terriers musclés et rapides se sont révélés extrêmement intrépides, agressifs et mordants et ont offert aux spectateurs un spectacle souvent brutal. Lorsque ce genre de divertissement populaire cruel a été interdit en Angleterre en 1835, l'image du bull terrier en tant que chien de combat impitoyable était déjà si imprégnée dans la tête des gens qu'il ne peut toujours pas s'en débarrasser aujourd'hui. La race était cependant déjà considérée comme paisible et obéissante à l'époque. Ainsi, même les rapports sur les célèbres chiens de combat de l'époque disent que les bull terriers étaient tout sauf agressifs à l'extérieur des arènes. Bien que, selon des statistiques, la fréquence de morsures du bull terrier soit à comparer avec celle d'un teckel, les chiens terriers sont sur la liste des races canines dangereuses aujourd'hui. Les raisons en sont multiples, mais elles se trouvent moins dans la nature des bull terriers que dans la responsabilité des éleveurs et des propriétaires douteux qui veulent compenser leur manque de confiance en eux par la présence d’un chien de combat à leurs côtés.


 


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Elevage et santé


 


Afin d'améliorer la réputation de l'ancien chien de combat, la proximité avec les hommes est aujourd'hui un critère majeur dans le choix des chiens reproducteurs. Même dans le standard de la race, il est expressément souligné que les bull terriers sont particulièrement gentils avec les gens, malgré leur obstination. Les chiens qui ne passent pas ce test de caractère, c'est-à-dire qui sont agressifs ou instables, doivent être exclus de l'élevage.


 


Si vous envisagez d'acheter un chiot bull terrier, vous devriez certainement contacter un éleveur de bonne réputation. C'est la seule façon de s'assurer que le jeune chien soit vraiment de race pure et réponde aux exigences de la norme, et ainsi d’éviter les « mauvaises surprises ». Prenez votre temps, non seulement pour choisir un chiot, mais surtout pour choisir le bon éleveur. N'ayez pas peur de poser beaucoup de questions à l'éleveur, afin de vous informer largement sur les conditions d'élevage et l'état de santé des chiens. L'éleveur doit prouver qu’il a une expérience de longue date dans l’élevage de bull terriers et qu’il est membre d'une association. Un éleveur consciencieux et soucieux du bien-être de ses chiens se fera un plaisir de vous renseigner et de vous faire découvrir le chenil, la mère et ses certifications.


 


Comme les bull terriers sont sujets aux hernies ombilicales, à la surdité (chez les chiens blancs), aux tumeurs, aux maladies cardiovasculaires et aux maladies rénales et articulaires, l'éleveur doit avoir effectué des tests de santé complets pour ces maladies. Non seulement les chiots eux-mêmes doivent être pris en compte dans l'évaluation de leur état de santé, mais les parents et les frères et sœurs doivent également être évalués. Les chiots bull terriers en bonne santé, qui ne sont pas génétiquement prédisposés à une maladie, sont considérés comme étant assez robustes, et atteignent généralement l'âge d'environ 10 ans. En dehors des vaccinations et des contrôles nécessaires, les visites chez le vétérinaire sont plutôt rares pour ces chiens-ci.


 


 


 


Alimentation du bull terrier


 


En plus des prédispositions héréditaires, une mauvaise alimentation est souvent à l'origine des maladies. Par exemple, une teneur trop élevée en protéines dans les aliments peut avoir un effet négatif sur la peau. Les bull terriers blancs en particulier, qui ont tendance à avoir des problèmes de peau plus fréquents, ont besoin d'une alimentation équilibrée et plutôt pauvre en protéines. Une teneur plus faible en protéines protège également l'organisme, et surtout les reins, du bull terrier. Pour les chiens terriers dont la famille a des antécédents de maladies rénales, une mauvaise alimentation peut avoir de graves conséquences.


 


Comme le bull terrier prend facilement du poids, ses portions de nourriture ne doivent pas être trop importantes. Les aliments qu’il mange doivent également être faibles en matière grasse et faciles à digérer. Pour couvrir les besoins nutritionnels du bull terrier, les repas quotidiens doivent être composés d'environ 60 % de viande (de préférence fraîche) et de 40 % de légumes, fruits et céréales (riz). Pour en savoir plus sur les besoins de votre bull terrier, qui peuvent varier selon le sexe, le poids, l'âge et le niveau d’activité, contactez votre éleveur ou votre vétérinaire.


 


Soins et éducation


 


Les soins du bull terrier sont simples et demandent peu de temps. Sa fourrure courte et brillante ne nécessite d’être brossée qu’une fois par semaine. Si vous lui coupez également régulièrement les griffes et que vous lui nettoyez les yeux et les oreilles, votre bull terrier est déjà bien soigné.


 


L'éducation de cette race nécessite en revanche plus de disponibilité et d’expérience.


 


Les propriétaires d'un bull terrier doivent avoir confiance en eux. En effet, la stigmatisation autour de cette race cataloguée comme dangereuse amène bien souvent un certain nombre de difficultés. Outre les restrictions en matière de détention, d'élevage et d'importation du bull terrier, les propriétaires sont souvent confrontés aux préjugés et à l'hostilité d'autres personnes. Les maîtres de bull terrier devront probablement s'habituer aux regards désobligeants, aux réactions de personnes effrayées, ou aux difficultés lors de leurs éventuelles recherches de logement. Avant d'acheter un bull terrier, demandez-vous si vous êtes capables de gérer de telles réactions.


 


Un bull terrier ne conviendra certainement pas aux gens peu sûrs d’eux et inexpérimentés. Non seulement les autres profiteront de vos insécurités, mais votre bull terrier lui-même s’en jouera. Leur caractère fort fait que ces chiens vont rapidement essayer de mener si vous n’êtes pas ferme avec eux. Même les chiots bull terriers sont étonnamment puissants et peuvent développer un comportement dangereux entre de mauvaises mains. Le bull terrier a par nature un instinct de protection prononcé, et suffisamment de courage pour le montrer en cas de danger. Ils ont donc absolument besoin d'une éducation cohérente et démarrée très tôt, afin d’être équilibrés et disciplinés, et d'avoir confiance en leur maître et en ses ordres. Bien éduqué et socialisé suffisamment tôt, le bull terrier est un chien de compagnie très agréable, sûr de lui mais extrêmement sensible, fidèle et amical envers les humains. Afin de diriger l'énergie de votre chien vers les bonnes activités, les sports canins, tel que l'agility, sont parfaitement adaptés.


 


Enfin, l’athlétique bull terrier a non-seulement besoin d'assez d'exercice et d'activités, mais aussi de beaucoup d'attention.


 


Si vous parvenez à surmonter toutes les difficultés de l'éducation d'un bull terrier, et si vous savez comment bien occuper votre chien, vous pourrez contribuer à améliorer progressivement l'image de cette race particulière


 


 

Éducation Comportement

Protection des ressources chez le chien

 


 


 


La protection des ressources chez le chien est un comportement pour lequel les propriétaires consultent souvent. C’est un comportement impressionnant, auquel les gens réagissent souvent trop fort et mal, et qui semble remettre en question la confiance des gens envers leur chien. C’est pourquoi il est important d’en prendre conscience, de l’analyser, et de se renseigner afin de l’adresser de la bonne façon.


 


 


 


Qu’est-ce que la protection des ressources?


 


            C’est quand le chien protège quelque chose auquel il accorde une grande importance, que ce soit sa nourriture, son jouet préféré, son lieu préféré (divan, lit etc.), ou une personne. C’est un comportement normal, c’est une question de survie, mais il peut prendre une proportion exagérée dans certains cas. Il est normal de ne pas vouloir donner sa nourriture, il est normal de ne pas partager le jouet préféré… Prêteriez-vous votre auto à n’importe qui? Donneriez-vous votre repas, à chaque repas, à quelqu’un d’autre qui a faim? Qui ne barre pas sa porte de maison quand il quitte son domicile?


 


Le comportement peut être impressionnant, dans le sens où le chien montre les dents, grogne, et peut même en venir à mordre, si on le comprend mal et qu’on ne réajuste pas le tir. Il est important de rester alerte aux autres signes précédant le comportement.


 


Certaines situations/événements peuvent accentuer la possession de ressources. Un chien qui a manqué de nourriture pourrait avoir plus tendance à la protéger. C’est un comportement qui commence aussi, plus souvent qu’autrement, à partir de l’adolescence. Les exercices peuvent vous permettre de commencer à faire travailler votre chiot avant que le problème ne se présente.


 


Ce n’est pas parce qu’un chien fait de la protection de ressources avec les autres chiens qu’il en fera automatiquement avec vous, ou vice versa. L’important est de bien identifier la problématique et de se renseigner sur la façon de régler le problème, selon le contexte dans lequel il est présenté.


 


 


 


Comment cela se passe?


 


La possession de ressources est directement reliée au stress de se faire enlever ce que le chien considère comme étant le sien. Il y a une multitude de signaux précurseurs à la morsure, c’est pourquoi il est très important de rester alerte au langage corporel de votre chien et de bien le comprendre. Le chien commencera par se figer, les muscles tendus, à votre approche. Les oreilles seront vers l’arrière, on peut peut-être voir un peu le blanc des yeux, malgré qu’il ne vous regarde pas de face (évitement). Il peut se lécher les babines. Si on continue de s’approcher, il montrera les dents et grognera. S’ensuit le « snapping » (morsure d’avertissement) puis la morsure réelle.


 


Voyez-vous tous les moments où on aurait tout simplement pu reculer et recommencer sur du positif, plutôt que de continuer à avancer et accentuer le problème?


 


Le chien ne protège pas ses ressources par dominance. Il ne le fait pas pour le challenge, il ne vous confronte pas. Le grognement chez le chien est un moyen de communication, pas une confrontation. C’est l’équivalent de dire « HEILLE, NON ! » à quelqu’un qui vient piger le plus beau morceau de viande dans votre assiette. Le fait de le gronder, d’utiliser la violence physique ou verbale à tout moment de la séquence comportementale si haut mentionnée ne fera qu’empirer le problème, car le chien apprendra seulement à sauter les étapes servant à vous prévenir de son inconfort et ira directement à ce qui fonctionne : la morsure. Il apprendra que vous êtes une menace et qu’il a raison de vous craindre. Ce n’est absolument pas la relation que nous voulons avec notre chien, n’est-ce pas?


 


 


 


Quoi faire alors?


 


            On doit apprendre au chien qu’il est possible de partager et d’échanger sans être perdant, même qu’au contraire, c’est gagnant de nous donner l’objet que nous demandons ou de nous laisser approcher de ses choses.


 


On peut prévenir la possession en faisant des exercices simples avec notre chien. On peut commencer par « échapper » une gâterie quand on passe près de notre chien qui mange ou qui joue avec son jouet préféré, ou quand on s’assoit sur le divan avec lui, sans lui parler, ni le regarder. Notre présence sera ainsi associée à du positif.


 


On peut tenter le même principe avec des jouets qu’il a dans la bouche. On peut commencer par lui offrir une gâterie irrésistible (au sol), pour qu’il lâche le jouet volontairement pour prendre la gâterie. On peut même faire un petit chemin de gâterie au sol pour qu’il s’éloigne de l’objet qu’on veut récupérer. On peut ainsi lui apprendre le commandement « donne », qu’on pourra pratiquer encore et encore, pour en venir à lui échanger les objets qui pourraient être problématiques sans problème, sans le forcer et que le tout reste volontaire de sa part.


 


Il est évident qu’il est préférable d’éviter les situations avec des objets dangereux et qu’il est toujours mieux de ne pas laisser traîner les choses qu’on ne veut pas que le chien touche. On a tous déjà entendu parler quelqu’un dont le chien s’était emparé d’une chaussette (par exemple), et quand la personne a voulu lui enlever, le chien s’est sauvé et l’a avalée d’un coup, pour être certain de ne pas la perdre. C’est surtout ici que le commandement « donne » et l’échange volontaire devient important et peut sauver des vies. Si le chien a appris que lorsqu’il vous remet ce que vous demandez, il est récompensé avec une gâterie de plus grande valeur, il n’y a plus d’intérêt à se sauver et à protéger ses choses. Le commandement « laisse » (ou autre mot à votre guise) peut être intéressant dans ce contexte aussi, afin de détourner l’attention du chien avant même qu’il ne saisisse l’objet indésirable.

INFORMATIONS DU NET.







Si vous vous sentez dépassé, si votre chiot présente des comportements que vous ne comprenez pas,faites appel à un éducateur déclaré dont sa réputation est connue , n'intervenez pas sur votre jeune chien en pensant faire bien, car vous pouvez vraiment accentuer le problème et cela provoque un mal etre chez votre jeune chien, une mauvaise harmonie familiale, qui peut aller jusq'aux extrêmes, la morsure , un placement non réfléchi, une rééducation par l'éducateur beaucoup plus longue et complexe, donc beaucoup de temps et beaucoup de frais, Alors faites vous aidez, même, il n'est pas nécessaire d avoir un chien à problème pour se tourner vers un centre canin, pour la socialisation, l'éveil du chiot, de l'éducation lui apprendre a vivre dans notre société... etc.

Dès ses 3 mois vous pouvez le faire participer à l'éveil du chiot.

DARKHOPVALMAJESTY.